Et voilà, l’heure de connaître l’heureuse ou l’heureux gagnant de la boîte à meuh, des bâtonnets d’encens et du mélange pour pains d’épices est arrivée. Tout ceci non sponsorisé par Nature et Découvertes, nous sommes d’accord ..

Alors, il suffisait de laisser un commentaire sur chaque article de la semaine passée ensemble et d’attendre de voir lequel serait le plus vu/lu pour ensuite effectuer un tirage au sort…

Ayant fait l’objet d’un article populaire sur Hellocoton une bonne partie de la semaine, il n’y a plus trop de mystère pour moi et les Hellocotonneuses.

Voici des photographies qui datent d’il y a quinze jours. Toujours d’actualité, je vous les montre aujourd’hui. Ce jour-là, j’ai fait une rencontre des plus intéressantes avec un vieil homme qui chaque jour vient nourrir les oiseaux et les écureuils du parc Mistral. J’ai donc appris à reconnaître les pinsons, les piverts et les mésanges.

Je peux vous assurer que je ne suis pas restée longtemps dehors: il faisait bien trop froid pour cela ( -2°c) du coup me voici en quête d’un thermos pour les prochaines fois: vous pouvez être sûrs qu’une boisson chaude aurait été plus qu’appréciable. Cependant,  j’ai énormément apprécié cette petite balade. Je vous laisse regarder les photos qui parlent d’elles-mêmes …

Cette année, vous ne passerez pas à côté de ma sélection de chansons de Noël car je m’apprête à vous montrer trois albums qui valent le coup d’être écoutés pour leur diversité. Oui, je sais qu’en terme de chansons de Noël on a tout vu, tout entendu. Je me vois encore être suppliée par mes parents de chanter « Petit Papa Noël » devant le sapin sous l’oeil attentif des invités et de la caméra qui gardera à jamais ses souvenirs honteux. L’épisode sera bien évidement interprété encore et encore pendant une bonne dizaine d’années…

Rien de tout cela aujourd’hui. Des chansons de Noël certes, mais de bon goût. De quoi faire perdurer la magie de cette période de l’année et mettre un peu de poésie à la maison après la cohue dans les magasins et le stress des dernières courses effectuées en même temps que 90% de la population de votre ville.

Alors prêt(e)s ?

♦ ♦ Plus de lecture et de photos ici ♦ ♦

J’en avais parlé il y a fort, fort longtemps maintenant (et dire que je voulais préparer cela en avance, ben c’est raté ..) de mon envie d’organiser un swap dont le thème serait:

« Le Swap anti-bonnes-résolutions-du-nouvel-an ! »

Et là, plusieurs personnes avaient été ravies de la nouvelle ( Brad Show, Flocon, Bm, Mlle Louise et Marie l’accro au tricot).

Le problème étant que Mlle Louise en organise également un en ce moment et puis pour le début de l’année il ne reste pas beaucoup de temps. Cependant, je veux vraiment faire ce swap avec ce thème-là et puis d’habitude les bonnes résolutions ne durent que le mois de janvier donc je me suis dit qu’on pourrait quand même s’en tenir pour janvier mais plutôt en fin de mois comme çela nous aurons le temps de tout peaufiner. Qu’en pensez-vous ?

Il y a des coups de coeur que l’on ne peut expliquer. Eléna et Sasha en sont le parfait exemple. Dès que je les ai aperçu dimanche devant la vitrine de la boutique Heschung, j’ai tout de suite voulu immortaliser ce joli couple. Tout était parfait: leurs habits, leurs jolis minois, leur attitude. Tout, tout, tout.

Et là, désespoir. Immense désespoir devrai-je dire. Comment demander à  quelqu’un de le prendre en photos le plus spontanément possible ? Je suis une grande timide moi, même si on ne dirait pas, mais je vous jure que pour moi c’est le genre de démarche insurmontable et tout juste impossible. Autant aller me pendre, c’est beaucoup plus simple !

Et puis au bout d’une demie-heure d’attente et de grands questionnements philosophiques (j’y vais, j’y vais pas, ils vont me manger toute crue, ils vont pas vouloir, faites que je sois invisible, non mais Céline quand même on dirait que tu as 6 ans et demie dans ta tête, quel intérêt de ne pas oser poser une simple question toute bête ?)

« Je peux vous prendre en photo ? Je vous trouve beaux tous les deux.. »

Je n’ai pas pu m’en empêcher, l’autre jour, lorsque j’étais de passage à Nature et Découvertes et me voici revenue avec quelques babioles.

Et Douce Mise en Scène a un an. Je vous le disais tout à l’heure, drôle de coïncidence. J’ai un anniversaire en commun avec Ödland ! Serait-ce que les grands esprits se rencontrent ?

Cette année est vite passée je trouve, pas vous? Enfin, je le demande surtout à mes tous premiers et fidèles lecteurs. Je pense notamment à YPBM, Charlotte, Marie (et bébé) et Charlène. Merci à vous. Je me souviens encore de ces premières heures passées où je scrutais nerveusement mes 4 visites quotidiennes ! Depuis, le quota est largement dépassé et je remercie chaleureusement tous ceux qui viennent ici régulièrement.

On fait un petit bilan?

Hier, j’ai assisté pour la première fois à un concert dans une boîte à chaussures. Des souliers Heschung que l’on trouve à Lyon depuis 1934. Un chef indien nous a tenu la porte et nous a prié de nous asseoir confortablement tous autant que nous étions, parmi les chaussures. Plein de chaussures. Mais également des cadres, des animaux, des cartes de biologie, des enfants pleureurs. Du sol au plafond.

Mais quelle étrange idée qu’organiser un tel évènement dans une boîte à chaussures …

Vu le manque de considération pour mon magnifique et lumineux calendrier de l’Avent de la semaine dernière, je me suis vue obligée de mettre la barre encore plus haute pour la Douceur du Dimanche. (Non, non, je ne suis pas du tout susceptible, juste un peu, enfin surtout  mon calendrier, je ne fais que défendre sa noble cause ..)

C’est ainsi que pour ce Lundi 6 Décembre, jour de la Saint-Nicolas j’ai fait des Bredele. Wiki vous racontera avec plaisir ce que c’est exactement si jamais vous êtes saisi(e)s d’une grande curiosité..

La recette provient du blog de Beautiful Poulette et c’est la troisième année consécutive que je m’en sers pour faire ces biscuits. Ce ne sont pas vraiment des sablés mais ils sont tout aussi bons. Et si on n’aime pas la cannelle, on peut toujours la remplacer par de la vanille, des zestes d’oranges ou de citrons: c’est ce qui est magique avec la pâtisserie, vous ne trouvez pas ?

Une plaque de polystyrène, une feuille canson et une feuille calque A2, des marqueurs, un cutter, de la colle blanche, des craies de couleur, de la sueur, un cadre Ikea 50×70 cassé sur le chemin de la maison et donc inutilisé, quelques longues minutes d’énervement et puis une énorme satisfaction personnelle quant au résultat: un calendrier de l’avant fait main, tout beau tout joli ! Vous l’aurez compris, cette année j’avais décidé de marquer le coup et surtout de ne pas succomber à la facilité qu’est d’acheter un calendrier Milka ou Kinder.

Non, non, non, cette année serait différente. A quoi bon acheter un calendrier la peau des fesses que nous allons engloutir  en une soirée car l’envie irrépressible d’aller vérifier si tous les chocolats sont bien présents avant l’heure serait insupportable. Juste au cas-où, Monsieur Kinder ou bien la Marmotte aient mal fait leur boulot et auraient mis 23 chocolats plutôt que 24.

Que celui qui n’a jamais fini son calendrier de l’avent le 20 Novembre me jette la première pierre .. !

On a tous vu une scène de Thanksgiving dans nos séries préférées: Friends, Desperate Housewives, Grey’s Anatomy, etc. Je crois que la seule série de celles que je regarde qui n’a jamais célébré cette tradition nord-américaine est Lost. Ou alors ma mémoire commence à flancher. Bref, Thanksgiving ou Action de Grâces, tout le monde connaît: ce sont les premiers colons britanniques qui avaient décidé de remercier les Indiens d’avoir bien voulu leur donner à manger lors de leur arrivée. Nous éviterons bien évidement de raconter la suite et la fin tragique de ces gentils Indiens samaritains.

Il n’y a pas si longtemps que cela, un certain ouvrage que j’ai lu avec plaisir et grand étonnement et dont je parlerai dans quelques mois avançait l’idée que chaque individu a le droit de créer ses propres croyances et rites. Je m’explique: rien ne nous oblige à nous soumettre aux croyances des principales religions que nous connaissons tous sans forcément se déclarer athée ou agnostique. Et là, ma petite cervelle a fait « tilt ». Certes je n’ai pas d’ancêtres parmi les premiers colons et fort heureusement je ne suis pas indirectement coupable du massacre des pauvres indiens mais rien ne m’empêche de célébrer l’Action de Grâces et d’en faire une pratique courante dans ma vie.