J’ai enfin repris le temps de lire et en ce moment c’est ce petit bijou qui est entre mes mains tous les soirs. J’en avais déjà parlé ici il y a bientôt un an et aujourd’hui je me rends compte à quel point je n’ai pas envie de finir ce livre.
C’est tout bête mais c’est une nouvelle qui ne compte que 82 pages et ça se lit super vite. Le problème, c’est que plus ça avance et moins on a envie d’y mettre un terme. C’est vraiment rare que je me retienne dans ma lecture mais là, pour une fois, j’ai vraiment envie de savourer chaque phrase énoncée, chaque détail de cet amour (platonique jusqu’à la page 48 en tous cas) entre les deux personnages principaux.
Ma pauvreté littéraire fait en sorte que c’est le premier ouvrage de Stefan Zweig que je lis mais il est sûr que ce ne sera pas le dernier.
Et pour la petite minute culturelle, c’est le dernier manuscrit de l’auteur; traduit que très recemment en français.
Pour ce qui est du résumé, Louis est muté au Mexique pour son boulot sauf, qu’entre-temps il tombe amoureux fou de la femme de son employeur. Amour réciproque qui sera séparé pendant neufs longues années. La nouvelle débute le jour de leurs retrouvailles dans une gare.
C’est bien loin d’être culcul-gnangnan, c’est juste sublime.
ah, Zweig… moi aussi je l’économise… je lis ses livres au compte-goutte…
ah ça me rassure, je ne suis pas la seule !!
Comme vous j’économise Zweig. J’ai lu cet hiver le voyage dans le passé est c’est un véritable bijou, mais trop court bien-sûr ! J’attends encore un peu avant de me plonger dans sa bio de Marie-Antoinette…
J’en suis presque à la toute fin , j’ai commencé à pleurer. Je crois que je suis trop sensible !
Ah tiens, je ne savais même pas qu’il avait fait une bio sur Marie-Antoinette, ça me tenterai bien !!
J’en n’ai jamais lu du Zweig. Allez je vais m’en acheter un demain avant de partir au Portugal, tu me donnes envie !
Ravie que cela te donne envie !!!