– I love a warm pig belly for my aching feet -

Jeudi 15 avril 2010 | Il se peut que je parle de : , , , ,

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Voici la citation que j’ai tout de suite adoptée lorsque j’ai vu la bande-annonce d’Alice au Pays des Merveilles de notre cher ami Tim Burton. Une Reine de Cœurs égale à elle même et surtout conforme à mes souvenirs d’enfant. Pourtant, je n’ai jamais vu la fin du dessin animé de Disney car il m’a toujours fait peur. Je trouvais le chat angoissant et la Reine bien trop absurde qui ne faisait que crier « qu’on lui coupe la tête ». Sans parler des pauvres flamants roses utilisés pour le cricket, de quoi fendre le coeur d’une petite fille qui adore les animaux!

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Donc, non, Alice aux Pays des Merveilles n’a jamais été mon Disney préféré et ne m’a jamais donné envie de lire l’œuvre de Lewis Caroll

Depuis des mois, on n’entends que ce mot: Alice.  « Alice » au Printemps, la vaisselle « Alice » aux Pays des Merveilles, le maquillage « Alice », inspiré d »‘Alice » in Wonderland, Annie Leibovitz a même réalisé une série de photos magnifiques pour Vogue et j’en passe. Et puis arrive enfin l’Alice de Burton.

S’il y a bien quelque chose que je ne comprends pas en ce moment, c’est cet engouement pour faire des films en 3D. Alors voilà une question pour ceux ayant vu Avatar et Alice, est-ce que la 3D vous a vraiment apporté quelque chose ?

Et quand je dis « faire des films en 3D » c’est plus dans le sens: convertir des long-métrages en 3D. Car si l’on croit les propos de Tim Burton sur le site d’Allociné, le tournage s’est fait en 2D et ensuite le film a été converti en 3D.

Personnellement, je n’ai pas du tout accroché et j’ai trouvé que ça ne servait à rien. Pour tout vous dire, j’ai même regardé le film dans sa quasi-totalité sans les lunettes et tout à coup je l’ai trouvé beaucoup plus intéressant et surréaliste. Et en V.O. s’il vous plaît !

Pour le reste, et dieu sait que j’adore la créativité, l’audace et l’oeil critique de Tim Burton, je n’ai pas été complètement séduite par cette vision d’Alice jeune adulte. J’ai trouvé que tout ça manquait de folie, de surréalisme, d’excentricité. Car si l’on y réfléchit deux minutes, la seule véritable excentricité rencontrée est l’univers de la Reine de Coeurs mégalo et heureusement qu’elle était là car sinon je me serai vraiment beaucoup ennuyée pendant la projection.

Cela étant dit, j’ai quand même repéré quelques détails qui ont sauté à mes yeux (malgré mon rejet pour les lunettes polarisées). Je retiendrais donc:

chapelier fou

Le charme de la vaisselle anglaise // Les dentelles et les napperons // La couleur Orange qui n’est pas suffisamment mise en valeur dans le monde de la mode // La robe bleue d’Alice raccommodée par le Chapelier fou, que j’ai trouvée toutefois magnifique et dont je n’ai pas réussi à mettre la main dessus nulle part ailleurs sur le net.

champignons

Et ces champignons qui sont quand même beaucoup plus attirants que ceux que je peux trouver dans mon assiette !

Bonne journée mes adorables lecteurs, je vous laisse, je suis en retard sur mon programme de la journée et puis j’ai un goûter à préparer! Non, c’est pas vrai, mais j’aimerai bien faire un grand goûter dans un jardin avec des petits biscuits et des tasses de thé à fleurs!

Et n’oubliez pas de participer au jeu des quatre mois.

[photos: Annie Leibovitz pour Vogue - Allociné]

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2 notes et observations

Voici la citation que j'ai tout de suite adoptée lorsque j'ai vu la bande-annonce d'Alice au Pays des Merveilles de notre cher ami Tim Burton. Une Reine de Cœurs égale à elle même et surtout conforme à mes souvenirs d'enfant.